01824naa a2200217 a 450000100080000000500110000800800410001902400350006010000180009524501020011326000090021552011930022465000240141765000100144165000140145165000120146565000140147765000340149165300170152577300640154215206112023-11-14 1972 bl uuuu u00u1 u #d7 a10.1186/1297-9686-4-3-4692DOI1 aRICORDEAU, G. aDistinction phénotypique des caprins homo-et hétérozygotes sans cornes.h[electronic resource] c1972 aRésumé: Chez les caprins d?origine alpine portant le gène dominant P d?absence de cornes, même les animaux sans cornes présentent deux protubérances osseuses. Chez les PP, les protubérances sont arrondies, bien séparées et sans présence de cornillons. Chez les Pp, elles sont plus développées, forment grossièrement 2 haricots en forme de » V » dirigé vers l?avant et présentent dans 30 cas sur 53 des cornillons pouvant atteindre 2 ou 3 cm. On peut ainsi, par examen extérieur, distinguer les génotypes. Déjà possible à partir de 3 mois, la reconnaissance est meilleure de 5 à 6 mois : sur 78 cas examinés il n?y avait aucune erreur de classement des homozygotes et ro p. 100 de cas douteux chez les hétérozygotes. Dans le passé, en recherchant des animaux avec des protubérances réduites, les éleveurs ont pu favoriser, inconsciemment, la sélection de boucs homozygotes. Actuellement, du point de vue pratique, pour éviter de sélectionner des reproducteurs homozygotes sans cornes, les éleveurs ont ainsi un moyen d?agir en prenant des boucs présentant des cornillons ou des protubérances très marquées, ceux ci seront en général hétérozygotes. aGenetic improvement aGoats aPhenotype aCaprino aFenótipo aMelhoramento Genético Animal aHeterozigoto tGenetics Selection Evolutiongv. 4, n. 3, p. 469-475, 1972.